How to Conjugate Ir Verbs in French: Complete Guide

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Pour conjuguer un verbe régulier en -ir, c’est assez simple : on enlève la terminaison -ir de l'infinitif pour ne garder que le radical. Ensuite, on y accole la bonne terminaison, celle qui correspond au pronom sujet. Si on prend le verbe finir, le radical est fin-. Il suffit d'ajouter -is pour dire je finis. Facile, non ?

Les verbes réguliers en -ir : plus simples qu'il n'y paraît

Après avoir vu les verbes en -er, s'attaquer aux verbes en -ir est l'étape la plus logique. C'est même assez rassurant ! Ce groupe, qu'on appelle souvent le deuxième groupe, suit une structure très prévisible. C'est parfait pour se construire une base solide avant de plonger dans l'univers parfois chaotique des verbes irréguliers.

Leur grande force, c'est leur cohérence. Contrairement aux nombreuses exceptions qui peuvent vite devenir un casse-tête, les verbes réguliers en -ir suivent un modèle clair, ce qui les rend bien plus faciles à mémoriser.

Pourquoi ce groupe est-il si important ?

Même s'ils sont moins nombreux que les verbes en -er, les verbes en -ir sont partout dans nos conversations de tous les jours. Pensez à des mots comme choisir, réfléchir, réussir ou encore grandir. Ce sont des verbes indispensables pour exprimer des idées et des actions courantes dans tout un tas de situations.

La petite astuce pour maîtriser ce groupe, c'est de repérer leur signature : le son "-iss-" qui apparaît aux personnes du pluriel (nous, vous, ils/elles). C'est ce détail qui les différencie tout de suite des verbes irréguliers qui se terminent aussi en -ir.

Saviez-vous qu'il existe environ 300 verbes français dans ce groupe régulier ? Ils ne représentent peut-être que 5 à 7 % de tous les verbes, mais ils sont cruciaux pour parler avec un minimum de fluidité. Leur particularité, ce sont leurs terminaisons bien à eux au présent : -is, -is, -it, -issons, -issez, -issent.

Comme ils sont réguliers, ils constituent un excellent terrain d'entraînement. En maîtrisant la conjugaison des verbes en -ir, vous renforcez votre compréhension générale de la logique des verbes en français, ce qui vous sera extrêmement utile pour la suite. Si vous avez besoin de revoir les bases, notre guide sur la conjugaison des verbes français est un excellent point de départ.

Pour bien commencer, jetons un œil aux terminaisons du présent de l'indicatif. C'est la base de tout.

Terminaisons du présent pour les verbes réguliers en -ir

Ce tableau résume les terminaisons à ajouter au radical de votre verbe. Une fois que vous les connaissez, vous pouvez conjuguer des centaines de verbes !

Pronom	Terminaison	Exemple (Finir)
Je	-is	Je finis
Tu	-is	Tu finis
Il/Elle/On	-it	Il finit
Nous	-issons	Nous finissons
Vous	-issez	Vous finissez
Ils/Elles	-issent	Elles finissent

Avec cette structure en tête, vous avez déjà un premier outil très puissant pour construire des phrases correctes et qui sonnent juste.

Se servir des verbes en -ir au présent tous les jours

Le présent de l'indicatif, c'est le temps de l'action, celui qu'on utilise sans arrêt. Pour les verbes en -ir, le but du jeu n'est pas de réciter des règles par cœur, mais de les intégrer au point que ça devienne un réflexe. Que la conjugaison sorte toute seule.

La mécanique est heureusement assez simple. Prenez un verbe régulier classique en -ir, comme choisir. La première chose à faire, c'est de trouver son radical, cette partie du verbe qui ne bouge pas. Pour ça, il suffit de lui enlever sa terminaison -ir.

Avec choisir, on se retrouve donc avec le radical chois-. C'est votre base, le point de départ pour toutes les conjugaisons au présent.

Ajouter les terminaisons de manière fluide

Une fois qu'on tient ce radical, il n'y a plus qu'à y coller la bonne terminaison, celle qui correspond au sujet. C'est à ce moment-là que l'entraînement paie : à force de le faire, le cerveau n'a plus besoin de réfléchir.

Mettons ça en situation avec des verbes que vous pourriez entendre dans n'importe quelle conversation :

Réfléchir (radical : réfléchiss-) : Je réfléchis à une solution.

Applaudir (radical : applaudiss-) : Le public applaudit l'artiste.

Réussir (radical : réussiss-) : Nous réussissons quand nous travaillons ensemble.

Ces exemples montrent bien comment le radical et la terminaison s'assemblent pour donner vie au verbe. L'objectif, c'est de ne plus avoir à décomposer mentalement chaque étape, mais de sentir intuitivement quelle terminaison utiliser.

Imaginez une discussion entre amis. Vous pourriez très bien lancer : « Quand tu réfléchis bien, tu choisis toujours la bonne option ». En une seule phrase, vous venez d'utiliser deux verbes en -ir, et ça sonne tout à fait naturel.

Le secret, c'est le son "-iss-"

Un des indices les plus fiables pour reconnaître et bien conjuguer ces verbes tient dans un petit son bien particulier. Vous avez remarqué ce qui se passe pour les personnes du pluriel ?

L'astuce imparable pour ne plus jamais hésiter, c'est de repérer ce fameux son -iss- qui débarque systématiquement avec nous, vous et ils/elles. C'est la véritable signature de ce groupe de verbes.

Ce petit détail est un aide-mémoire en or. Si vous entendez ou devez écrire une forme au pluriel, ce -iss- doit tout de suite s'allumer dans votre tête.

Pronom	Terminaison	Signature	Exemple (Agir)
Je	-is	ㅤ	J'agis
Tu	-is	ㅤ	Tu agis
Il/Elle/On	-it	ㅤ	Il agit
Nous	-issons	-iss-	Nous agissons
Vous	-issez	-iss-	Vous agissez
Ils/Elles	-issent	-iss-	Ils agissent

Cette particularité, c'est ce qui vous permet de faire la différence entre un verbe régulier comme finir et un irrégulier comme partir. Pour partir, on dit bien nous partons, sans le son -iss-. C'est cet indice crucial qui vous guide vers la bonne conjugaison.

En vous concentrant sur cette signature, vous allez peu à peu développer une oreille pour la grammaire française. Ça vous aidera non seulement à mieux écrire, mais aussi à parler avec plus d'assurance. La prochaine fois que vous hésiterez, tendez l'oreille : si le pluriel sonne en "-iss-", vous êtes sur la bonne voie.

Raconter des événements avec le passé composé et l'imparfait

Parler au passé est une compétence clé. C’est ce qui vous permet de partager une expérience, de raconter une anecdote ou simplement de décrire un souvenir. Pour ça, le français jongle principalement avec deux temps : le passé composé et l'imparfait. Chacun a son propre rôle, et savoir comment conjuguer les verbes en -ir à ces deux temps vous donnera une bien plus grande liberté d'expression.

Le passé composé, comme son nom l'indique, est "composé" de deux parties. Il est parfait pour parler d’une action précise, terminée, qui a eu lieu à un moment donné dans le passé. Pour nos verbes réguliers en -ir, sa construction est heureusement très simple.

Former le passé composé des verbes en -ir

Pour construire ce temps, il vous faut juste deux éléments :

L'auxiliaire avoir conjugué au présent.

Le participe passé de votre verbe en -ir.

Et bonne nouvelle : le participe passé des verbes réguliers comme finir ou choisir est un jeu d'enfant. On enlève simplement la terminaison -ir et on la remplace par un -i. Du coup, finir devient fini et choisir devient choisi. Facile, non ?

Par exemple : « Hier soir, j'ai fini mon livre. » L'action de finir est clairement terminée. Elle a un début et une fin. C'est l'usage typique du passé composé.

Décrire le décor avec l'imparfait

L'imparfait, lui, c’est le temps de l'ambiance. Il sert à décrire le décor, à parler d'habitudes passées ou d'actions qui s'étalaient dans le temps. C’est un peu comme l'arrière-plan d’un tableau, tandis que le passé composé vient peindre l’action principale au premier plan.

Pour former l'imparfait, il y a une petite astuce que beaucoup d'étudiants adorent. On prend la forme du verbe avec "nous" au présent. Pour finir, cela donne nous finissons. Ensuite, on retire la terminaison -ons pour obtenir le radical : finiss-.

C’est sur ce radical qu’on vient coller les terminaisons de l'imparfait : -ais, -ais, -ait, -ions, -iez, -aient.

Je finissais

Tu finissais

Il finissait

L’infographie ci-dessous vous montre en un clin d’œil la différence entre ces deux temps essentiels.

Ce visuel met bien en évidence comment le passé composé se focalise sur l'action ponctuelle, alors que l'imparfait s'occupe du contexte ou de ce qui se répétait.

Voyons comment cela s'applique avec un verbe comme "agir" dans différentes situations.

Comparaison Passé Composé vs. Imparfait pour 'Agir'

Situation	Exemple au Passé Composé	Exemple à l'Imparfait
Action unique et terminée	Face à l'urgence, il a agi rapidement.	Quand il était jeune, il agissait toujours sans réfléchir.
Soudaineté	Tout était calme, puis soudain, elle a agi.	Le personnage agissait étrangement tout au long de la scène.
Résultat d'une action	Ils ont agi en suivant le plan et ont réussi.	La loi agissait en faveur des plus démunis à cette époque.

Ce tableau montre bien la nuance : le passé composé pour l'intervention rapide, l'imparfait pour le comportement habituel ou le cadre d'une histoire.

Les méthodes pour enseigner la conjugaison ont bien évolué. Une étude de 2023 a montré que 72 % des élèves maîtrisent les verbes réguliers en -ir après deux ans, ce qui prouve l'efficacité des approches structurées. Le succès des candidats aux examens du DELF, avec plus de 80 % de réussite sur ces conjugaisons, le confirme : ces verbes sont un pilier accessible de la langue. Pour plus de détails, vous pouvez consulter l'étude ici.

La différence entre ces deux temps peut parfois être subtile. Si vous voulez creuser le sujet, n'hésitez pas à consulter notre guide complet sur l'utilisation du passé composé et de l'imparfait. C’est un excellent moyen de consolider vos bases.

Exprimer le futur et les hypothèses

Après avoir voyagé dans le passé, projetons-nous maintenant dans l'avenir et dans le monde des possibles. Vous allez voir, parler de ce qui va arriver ou imaginer des scénarios devient étonnamment simple avec les verbes en -ir. La bonne nouvelle ? La construction du futur simple et du conditionnel présent est l'une des plus logiques de la grammaire française.

Pour ces deux temps, oubliez la chasse au radical. C'est bien plus simple que ça : on utilise l'infinitif complet du verbe comme base de conjugaison. Une règle en or qui vous fera gagner un temps fou.

Anticiper l'avenir avec le futur simple

Le futur simple, c'est le temps de la certitude, de l'intention ferme. Quand on l'utilise, on est sûr de son coup. Pour former ce temps avec un verbe régulier en -ir, c'est direct : prenez l'infinitif (finir, choisir) et collez-lui les bonnes terminaisons.

Ces terminaisons sont les mêmes pour tous les verbes, et elles vous rappelleront quelque chose : elles viennent du verbe avoir au présent.

-ai (pour je)

-as (pour tu)

-a (pour il/elle/on)

-ons (pour nous)

-ez (pour vous)

-ont (pour ils/elles)

Imaginez une discussion au bureau. Votre manager pourrait vous dire : « Demain, tu finiras ce rapport. Ensuite, nous choisirons la nouvelle stratégie. » C'est clair et direct.

Le piège à éviter, c'est de ne surtout pas toucher à l'infinitif. Pour conjuguer bâtir au futur, la base est bâtir-, et non bât-. On dit donc « Je bâtirai ma maison », pas « Je bâtirai ». C'est une erreur fréquente au début !

Imaginer des scénarios avec le conditionnel présent

Le conditionnel, c'est le temps des rêves, des hypothèses, des souhaits… et de la politesse ! Il exprime une action qui se réaliserait à une certaine condition. Sa construction est tout aussi logique que celle du futur.

On garde l'infinitif du verbe comme base, mais cette fois-ci, on ajoute les terminaisons de l'imparfait.

-ais (pour je)

-ais (pour tu)

-ait (pour il/elle/on)

-ions (pour nous)

-iez (pour vous)

-aient (pour ils/elles)

Ce temps est un outil social incroyable. Au lieu d'un « Je veux cette option » un peu direct, un « Je choisirais cette option, s'il vous plaît » change tout. C'est instantanément plus courtois.

Il est aussi le meilleur ami de la structure hypothétique avec "si". Par exemple : « Si j'avais plus de temps, je finirais ce projet aujourd'hui. » La phrase peint un scénario imaginaire, une possibilité qui dépend d'une condition. Maîtriser cette structure, c'est vraiment passer un cap vers une expression plus fluide et nuancée.

Futur vs. Conditionnel pour 'Réussir' : le face-à-face

Temps	Construction	Exemple	Ce que ça veut dire
Futur Simple	Infinitif + terminaisons futur	Tu réussiras ton examen.	C'est une certitude, une prédiction.
Conditionnel Présent	Infinitif + terminaisons imparfait	Tu réussirais si tu étudiais plus.	C'est une hypothèse, une possibilité.

La différence entre les terminaisons peut sembler minime à l'oral (écoutez bien la nuance entre finirai et finirais), mais elle change complètement le sens de votre phrase. Entraînez votre oreille et votre prononciation pour être sûr de communiquer exactement ce que vous avez en tête.

S'aventurer hors des sentiers battus : les verbes irréguliers en -ir

Si seulement tous les verbes en -ir suivaient le modèle de finir, la vie serait tellement plus simple, n'est-ce pas ? Mais le français, avec son petit caractère, adore les exceptions. Un grand nombre de verbes très courants qui se terminent en -ir sont en fait des rebelles : ils sont irréguliers. Ils ignorent complètement la règle du fameux son "-iss-" au pluriel, ce qui peut vite devenir un vrai casse-tête.

Des verbes comme partir, sortir, dormir, ou encore ouvrir et venir sont partout dans nos conversations de tous les jours. Les maîtriser est donc indispensable pour que vos phrases sonnent juste et fluide. La bonne nouvelle ? Pas besoin de les apprendre bêtement par cœur, un par un. On peut les regrouper en petites "familles" qui partagent les mêmes manies de conjugaison.

En repérant ces familles, on passe d'une mémorisation brute à un jeu de reconnaissance de motifs. C'est une approche bien plus intelligente et, avouons-le, beaucoup plus motivante.

La famille des verbes comme partir et sortir

Un premier groupe facile à identifier est celui des verbes comme partir, sortir, dormir, servir ou sentir. Leur petite manie, c'est de raccourcir leur radical pour les trois personnes du singulier (je, tu, il/elle/on).

Prenons partir comme exemple :

Je pars (le "t" a disparu)

Tu pars

Il part

Nous partons (hop, le "t" est de retour !)

Vous partez

Ils partent

Vous voyez le truc ? Le radical est par- au singulier, mais redevient part- au pluriel. C'est ce petit changement qui les classe dans les irréguliers. L'astuce pour les démasquer est simple : si vous ne dites pas "nous partissons", c'est un irrégulier de cette bande.

La famille des verbes comme ouvrir et couvrir

Un autre clan important rassemble les verbes finissant en -vrir ou -frir. Pensez à ouvrir, couvrir, découvrir, mais aussi offrir et souffrir. Leur conjugaison, c'est un peu un tour de passe-passe : bien qu'ils finissent en -ir, ils se conjuguent au présent exactement comme des verbes réguliers en... -er !

Oui, vous avez bien lu. Il suffit de prendre leur radical et d'y coller les terminaisons que vous connaissez déjà par cœur : -e, -es, -e, -ons, -ez, -ent.

Tableau de conjugaison pour 'Ouvrir' (au présent)

Pronom	Conjugaison	La terminaison en -er
J'	ouvre	-e
Tu	ouvres	-es
Il/Elle/On	ouvre	-e
Nous	ouvrons	-ons
Vous	ouvrez	-ez
Ils/Elles	ouvrent	-ent

Une fois que vous avez cette clé, conjuguer offrir devient un jeu d'enfant : j'offre, tu offres, il offre... Cette astuce simplifie énormément l'apprentissage de comment conjuguer les verbes en -ir qui semblent compliqués à première vue.

Les cas à part : venir et tenir

Enfin, il y a les francs-tireurs, les caméléons de la conjugaison. Venir (et ses cousins revenir, devenir) et tenir (retenir, obtenir) sont dans cette catégorie. Ils sont très, très irréguliers et suivent leur propre logique.

Leur conjugaison est un peu plus ardue car le radical se transforme plusieurs fois : je viens, nous venons, ils viennent. Ils demandent un effort de mémorisation spécifique, c'est vrai. Mais ils sont tellement utilisés au quotidien que l'investissement en vaut vraiment la chandelle. Les maîtriser, c'est débloquer un nombre incroyable de phrases et d'expressions courantes.

Vos questions fréquentes sur la conjugaison des verbes en -ir

Même avec les meilleures explications du monde, il reste souvent quelques zones d'ombre. C'est tout à fait normal ! Démêlons ensemble les questions qui reviennent le plus souvent pour que vous maîtrisiez enfin comment conjuguer les verbes en -ir en français.

L'une des plus grandes interrogations, c'est bien sûr la différence entre les verbes réguliers et irréguliers. Comment les distinguer sans devoir apprendre une liste interminable par cœur ?

Comment savoir si un verbe en -ir est irrégulier ?

Il existe une astuce toute simple et très fiable : testez le verbe avec "nous" au présent. Si vous entendez le son -iss-, comme dans "nous finissons" ou "nous choisissons", bingo, c'est un verbe régulier.

En revanche, si ce son n'apparaît pas, comme dans "nous partons" ou "nous dormons", alors vous êtes face à un verbe irrégulier.

Une autre question qui revient souvent concerne la prononciation. Par exemple, est-ce qu'on prononce le "-ent" à la fin de "ils finissent" ? La réponse est un non catégorique.

-is, -is, -it : On entend bien ces terminaisons. Je finis et il finit se prononcent différemment à la fin.

-ent : La terminaison pour "ils/elles" est toujours muette. "Ils finissent" se prononce donc exactement comme "il finit". Seul le contexte de la phrase permet de faire la différence.

Enfin, vous vous demandez peut-être pourquoi des verbes comme dormir perdent une lettre au singulier (je dors) mais la récupèrent comme par magie au pluriel (nous dormons). Il n'y a pas vraiment de règle logique imparable ici. C'est une particularité de certains groupes d'irréguliers. Le plus simple est de les apprendre par petites familles, comme on l'a vu plus haut, pour mieux repérer ces schémas qui se répètent.

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